Si quelqu'un ne veut pas croire, peu importe la somme de preuves qu'on peut lui offrir, il ne croira pas
Plusieurs ont essayé de découvrir qui était le Dr Rampa, son nom réel à la naissance, son âge véritable, son signe astrologique, etc., et tous ont échoué. C'est parce qu'ils n'ont pas cru en la transmigration et ont ainsi daté seulement le corps physique que le Dr Rampa occupait au moment de sa mort.
Je veux proposer une hypothèse selon laquelle quand le Dr Rampa est mort il avait entre deux cent soixante et onze et trois cent six ans. N'oublions pas que son Guide avait plus de quatre cents ans. On peut lire dans Le Sage du Tibet vers la fin du sixième chapitre : "J'ai déjà vécu plus de quatre cents ans dans cette vie et je suis la personne, la seule personne dans tout le Tibet à comprendre le fonctionnement complet de ces choses. C'est l'une de mes tâches. Et mon autre tâche (il me regarda malicieusement), est celle de te former, de te transmettre mon savoir de sorte que lorsque dans un avenir proche je mourrai avec un poignard dans le dos, tu puisses être en mesure de te souvenir de cet endroit, de te souvenir comment y entrer, comment utiliser tous les appareils, et revivre les événements du passé."
Je vais citer des faits tirés de ses dix-neuf livres qui vous permettront de vous faire une opinion personnelle. Il y a une petite preuve que j'ai retenue jusqu'à maintenant. Avant d'aller plus loin, soulignons le fait que nous n'allons PAS révéler les informations suivantes :
- Le nom réel du Dr Rampa à sa naissance.
- La date de naissance réelle du Dr Rampa.
- Le signe astrologique du Dr Rampa.
Le Dr Rampa s'est donné extrêmement de mal pour garder cachée sa véritable identité et je n'ai aucune intention de révéler ce qu'il tenait à garder secret. Je vais, d'un autre côté, révéler via cette hypothèse que le Dr Rampa a subi trois transmigrations : d'où son âge. Deux transmigrations sont bien documentées dans ses livres et la troisième est quelque peu dissimulée. Ceci répond également à la question que plusieurs ont posée : "Pourquoi le Dr Rampa écrit-il parfois à la troisième personne ?" On ne peut répondre à cette question et à d'autres que par une troisième transmigration.
Dans Lueur d'une Chandelle (Les Lumières de l'Astral) au dernier paragraphe du chapitre cinq, nous lisons : "Mais certainement que je refuse de dire mon âge. Cela ne regarde personne. Ceci est mon affaire. Mon âge, qui est beaucoup plus avancé que vous ne pourriez le croire, n'affecte pas mes écrits, il n'ajoute aucune preuve à quoi que ce soit et, de toute façon, je ne veux pas donner de preuve parce que je me fiche complètement de déplaire à la Presse. Les honnêtes gens ordinaires qui lisent mes livres me croient, eux, mais comme c'est toujours le cas, c'est une minorité extrêmement bruyante qui soulève l'opinion et dont on ne comprend qu'elle est nuisible que si l'on devient sa victime. Mais la réponse est — Non, je ne dirai pas mon âge, simplement parce que je ne veux pas le dire !"
Le Dr Rampa était Tibétain ; il existe une preuve photographique dont seulement cinq autres personnes de ma connaissance possèdent des copies. La photo le montre distinctement en compagnie de son guide, l'Éminent et Puissant Lama Mingyar Dondup, et avec sa Sainteté le Grand Treizième Dalaï-Lama — une copie de ladite photo apparaît vers la fin de cette hypothèse.
Si vous lisez tous les dix-neuf livres du Dr Rampa vous serez au courant de sa plus célèbre et controversée transmigration dans un autre corps physique, celui qui appartenait à Cyril Henry Hoskins, aussi ce n'est pas la peine d'en dire davantage sur cet événement. Beaucoup pensent que ce fut sa seule transmigration et pourtant il y en a une autre qui est clairement documentée dans Le Sage du Tibet au chapitre quatre : Plus tard tu occuperas l'un de ces corps pendant un an moins un jour. Il faut garder cette marge d'un jour parce que ces corps ne peuvent durer au-delà de trois cent soixante-cinq jours sans que certaines choses compliquées leur arrivent. Il est donc préférable que la prise en charge dure une année moins un jour. Et ensuite — eh bien, le corps que tu es en train d'occuper reprendra sa place dans le cercueil de pierre, frissonnant du froid qui y règne, et c'est petit à petit que ta forme astrale émergera du corps de substitution pour entrer dans ton propre corps et reprendre le contrôle de toutes ses fonctions, de toutes ses pensées, et de toutes ses connaissances. Et sur cela sera maintenant superposé tout le savoir acquis durant les trois cent soixante-quatre derniers jours.
Maintenant que nous avons clairement démontré deux transmigrations accréditées, passons à l'énigmatique troisième. Pour cela il nous faut citer divers passages des livres du Dr Rampa, ses propres mots, cependant vous devez vous souvenir que les Grands Lamas Tibétains sont des maîtres de la diversion, et j'explique pourquoi plus loin dans cette hypothèse. Le Dr Rampa n'a jamais menti dans aucun de ses livres et si vous les lisez en tant que livres de fiction, vous passerez complètement à côté de tout ceci, comme plusieurs l'ont fait et le font encore. Je commencerai par son âge, suivi de l'énigmatique transmigration, parce que cela vous aidera à avoir une vue d'ensemble et que sans aucune référence à son âge, la troisième transmigration pourrait ne pas être acceptée. Débutons notre quête en commençant avec son premier livre.
Quand on commence à lire Le Troisième Œil on a l'impression qu'il s'agit de l'histoire d'un petit garçon, ce garçon étant le Dr Rampa qui, à l'âge de sept ans, dut entrer dans une lamaserie afin de débuter des études qui devaient le conduire à devenir un Lama qualifié. Cependant, me basant sur ce qui est écrit dans son dernier livre, Le Sage du Tibet, je propose que Le Troisième Œil concerne principalement le Prédécesseur qui préparait le corps physique pour l'arrivée du Dr Rampa : le Dr Rampa que nous connaissons, aimons et respectons. Il y a un très gros indice sur le concept d'un prédécesseur dans Le Troisième Œil qui corrobore mon hypothèse, mais je vous en dirai davantage sur cet indice plus loin.
Parce que personne n'aurait cru ce qu'il a écrit dans son premier livre s'il avait donné des informations telles que celles fournies dans Le Sage du Tibet, il dut créer une histoire, la rendant plus acceptable à un public très sceptique qui ne savait rien d'un pareil sujet. Il ne s'agit pas de mensonge mais de diversion. Le Dr Rampa était conscient qu'aussi longtemps que les gens ne pourraient ou ne voudraient accepter de tels sujets, il serait inutile d'en parler. Toutefois, nous savons que quand le Dr Rampa a quitté le Tibet pour Chongqing, il avait bien au-delà de 200 ans malgré qu'il n'en avait certainement pas l'air ; la photo donne également la confirmation qu'il était beaucoup plus âgé.
Si nous l'imaginons en tant que jeune homme, comme son livre nous en donne l'impression (Docteur de Lhassa, chapitre cinq), voici que peu de temps après son arrivée à son université en Chine il lui fallut retourner au Tibet, le Grand Treizième se mourant ; le Dr Rampa devait prendre en charge l'ensemble des cérémonies funéraires. Nous ne pouvons accepter que l'on donne une si grande responsabilité à une jeune personne alors que quelqu'un de beaucoup plus âgé le peut et se doit de le faire. À son arrivée, les amis du Dr Rampa se faisaient soudoyer avec des montres bracelets par un Occidental inconnu — possiblement Sir B. Gould — et cet Occidental aurait pu facilement se débarrasser d'un jeune homme alors que quelqu'un de plus âgé – et combien plus avisé – ne pouvait être écarté aussi aisément.
Le Dr Rampa mentionne dans L'Histoire de Rampa au chapitre deux : "L'invasion chinoise dans la première décennie du siècle avait profondément aigri Père". Cependant, bien que le Dr Rampa ne dise pas de quel siècle il s'agisse, la seule ‘véritable invasion’ connue est celle de 1700 quand les Chinois annexèrent le Tibet oriental et réoccupèrent Lhassa par force en 1720 ; l'escarmouche de 1910 fut utilisée comme fausse piste. Ainsi prenons une date moyenne de 1710 et soustrayons-la à 1981 – l'année du décès du Dr Rampa – nous avons 271 années.
Dans son livre Je Crois au chapitre huit, le Dr Rampa raconte une histoire énigmatique utilisant des horloges : "Je suis née à la fin du dix-septième siècle, et mon habit de bois fut poli pour la première fois en 1675 ; depuis que mon balancier s'est mis en mouvement, j'ai médité sur le mystère de la vie. Longue est mon existence, et longue ma méditation. Si courte est la durée de vie des humains qu'elle ne leur laisse vraiment que peu de temps pour penser à tout ce qu'il y a à savoir sur la vie." Par conséquent "Mon habit de bois" étant une référence au physique, "mon balancier" à ses battements de cœur, est-ce que "longue est mon existence depuis 1675" ferait référence à l'année de sa naissance ? D'où ma remarque de 271 à 306 ans d'âge. Ainsi la partie concernant l'âge établie, passons maintenant à la troisième transmigration.
Le Sage du Tibet, chapitre trois : "Les Jardiniers de la Terre sont des gens très occupés. Leurs superviseurs le sont encore plus, et pour connaître les conditions réelles chez les Terriens, ils n'avaient qu'à prendre l'un de ces corps. Leur propre forme astrale pénétrait dans l'un de ceux-ci, qui ne sont réellement que des enveloppes, tu sais, et activait le corps. C'est ainsi que quelqu'un pouvait être un homme de trente ans, ou quel que soit l'âge, sans l'ennui et les difficultés de naître, de passer par l'enfance, se trouver peut-être un emploi, et même prendre une épouse. Cela pouvait conduire à un tas de complications."
Le Sage du Tibet, chapitre quatre : "Un bébé doit vivre plusieurs années afin d'apprendre une chose, et il doit aller à l'école, il doit se soumettre à la discipline parentale, et c'est une véritable perte de temps. Il perd peut-être trente ou quarante ans, alors que si le corps d'emprunt peut faire tout cela et venir ensuite à ces cercueils, il a alors en vérité beaucoup plus de valeur ; il connaît toutes les conditions de vie de sa propre partie du monde, et il n'a pas à passer des années d'attente et d'apprentissage, sans trop savoir ce qu'il en est."
La Treizième Chandelle, chapitre onze : "L'entité chargée de la tâche particulière dont nous avons parlé, avait longtemps cherché un sujet qui lui convînt. En effet, c'est un gaspillage considérable pour de pareilles entités supérieures que de devoir descendre sur Terre, renaître et risquer de perdre beaucoup de leur savoir au cours de l'expérience traumatisante qu'est la naissance. Aussi, l'entité a cherché un hôte adulte à sa convenance et quand les temps ont été mûrs, le corps a été immédiatement évacué par l'une et instantanément réoccupé par l'autre."
Ainsi nous savons maintenant que ceux venant sur cette Terre dans un but spécial n'ont pas à se soucier de devoir passer par l'enfance et l'adolescence – véritable perte de temps pour le visiteur – et c'est ainsi que quelqu'un d'autre doit habiter le corps physique en préparation pour l'arrivée du véritable propriétaire qui alors prendra en charge ce corps physique. Ceci est alors la toute première transmigration par la personne qui doit visiter notre planète et cette transmigration se fait généralement entre l'âge de 30 et 40 ans. La transmigration du Dr Rampa s'est faite autour de l'âge de 40 ans et c'est documenté dans Le Troisième Œil.
Le Sage du Tibet, chapitre six : "Et mon autre tâche (il me regarda malicieusement), est celle de te former, de te transmettre mon savoir de sorte que lorsque dans un avenir proche je mourrai avec un poignard dans le dos, tu puisses être en mesure de te souvenir de cet endroit, de te souvenir comment y entrer, comment utiliser tous les appareils, et revivre les événements du passé. Tu seras en mesure de voir là où le monde a mal tourné, et je pense qu'il sera trop tard dans ce cycle particulier d'existence pour y changer grand-chose. Mais peu importe, les gens apprennent à la dure parce qu'ils rejettent le moyen facile." Nous savons que certaines des probabilités futures dont parle le Dr Rampa ne se sont pas concrétisées car l'humanité a apporté des changements, bien que très peu en comparaison de tout ce qu'il nous reste à accomplir.
La Sagesse des Anciens, AVATAR ou AVATARA : "C’est une personne très rare de nos jours. Il s’agit d’une personne qui n’a pas de Karma, une personne qui n’est pas nécessairement humaine, mais qui adopte la forme humaine pour venir en aide aux humains. On a observé que l’Avatar (mâle), ou Avatara (femelle), est toujours plus grand que l’humain.
"Dans la Bible Chrétienne, on parle d’anges descendus jusqu’au plus profond des enfers de la Terre pour porter assistance à l’humanité souffrante. Les Avatars apparaissent lorsque le monde est en danger, ou lorsque l’humanité en tant qu’espèce est en danger. Vous pouvez ne pas reconnaître les Avatars parce qu’ils subissent souvent de grandes souffrances. Ils sont purs, et à moins d’endosser certaines souffrances, ils ne peuvent rester sur Terre." Le Dr Rampa était ici pour découvrir ce sérieux défaut chez les humains qui les poussent à s'autodétruire continuellement, ce qui correspond très clairement à "l'humanité en tant qu'espèce en danger" nécessitant la visite d'un Avatar dans un but spécial.
Cela ressemble beaucoup au Dr Rampa parce qu'il était manifestement de Patra et n'avait pas de Karma ; par conséquent un Avatar. Le Sage du Tibet : "Toi et moi sommes différents parce que nous venons d'un lieu bien au-delà de l'astral, nous sommes de Patra." Le Dr Rampa est venu sur cette terre afin d'accomplir une tâche spéciale, celle de découvrir les défauts des êtres humains pour le compte d'autres sur le plan astral. Ces derniers désiraient savoir pourquoi nous, humains, avons mal tourné encore une fois, pourquoi les êtres humains sont une espèce ratée. D'autres avant lui sont venus avec la même tâche que lui mais ont échoué là où il a réussi — par conséquent il n'aurait pas gaspillé de temps à naître et passer par la période de l'enfance.
Il y a quelques inconvénients à transmigrer dans un corps qui n'a pas été spécialement préparé. Ainsi Qu'il en Était : "Malheureusement, quand on prend la relève d'un corps, il y a certaines graves limitations fonctionnelles. Permettez-moi de vous donner un exemple : peu de temps après avoir pris la relève du corps (celui de Cyril Henry Hoskins), je me suis aperçu que je ne pouvais pas écrire le Sanscrit, je ne pouvais pas écrire le Chinois. Oh oui, je connaissais incontestablement la langue, je savais ce qu'il me fallait écrire, mais — le corps que j'habitais n'était pas ‘conçu’ pour faire ces gribouillis que sont le Sanscrit ou le Chinois. Il n'était capable que de reproduire, disons, les lettres comme celles de l'anglais, du français, de l'allemand ou de l'espagnol."
N'oubliez pas que le physique n'est rien d'autre que le véhicule du corps spirituel. Pour vous donner un exemple rudimentaire afin de clarifier cette affirmation : supposons que vous ayez l'habitude de conduire un véhicule automatique et qu'il tombe en panne un jour. Celui que le garage vous prête en attendant la réparation n'est pas un automatique mais plutôt un véhicule à transmission manuelle. Ainsi à moins de savoir comment utiliser une transmission manuelle avec pédale d'embrayage, vous aurez des problèmes et ne pourrez procéder de la même façon qu'avec un automatique.
Quand Sir Charles Bell rencontra le Dalaï-Lama vers 1910, le Dr Rampa était là pour lire son Aura, ce qui signifie que ce dernier est certainement né bien avant 1900 puisqu'il lui a bien fallu d'abord acquérir cette habileté. Bien que le Dr Rampa ait été nourri d'informations au moyen de l'hypnose et autres méthodes, il lui fallait quand même comprendre parfaitement lesdites informations et cela prend du temps !
Le Sage du Tibet, chapitre deux, Myngyar parlant à Lobsang : "Tu vas devenir le Lama le plus éduqué qui ait jamais vécu au Tibet" ; un savoir qui ne s'acquiert certainement pas en l'espace de quelques années puisqu'il s'agit d'un entraînement extrêmement spécialisé.
Docteur de Lhassa, Préface de l'Auteur : "Mon instruction fut très poussée car, en plus de la médecine et de la chirurgie qui étaient mes spécialités, je devais aussi étudier les Écritures. Il me fallait en effet devenir non seulement lama médecin, mais lama tout court, c'est-à-dire un prêtre dont la formation fût complète. Je fus donc obligé d'étudier dans deux directions à la fois et, par conséquent, de travailler deux fois plus qu'un étudiant ordinaire. À l'époque, cette obligation ne m'enchantait guère." Cela seul ne peut être appris en quelques années à peine.
Lueur d'une Chandelle, chapitre neuf : "À dire vrai, il n'y a en théorie aucune limite à la durée de vie d'une personne, car tout ceci dépend du souvenir emmagasiné dans les cellules de notre cerveau, le souvenir qui permet au corps de reproduire des parties identiques. Si nous avions suffisamment bonne mémoire, et il s'agit d'une mémoire sub-consciente, nous pourrions vivre presque indéfiniment. Malheureusement, à notre stade d'évolution actuel, la mémoire se détériore." Le Dr Rampa vécut aussi longtemps parce que sa mémoire subconsciente était à un stade d'évolution beaucoup plus avancé que le nôtre présentement.
La Sagesse des Anciens : "Une personne qui n’est pas nécessairement humaine, mais qui adopte la forme humaine pour venir en aide aux humains." Nous savons que le Dr Rampa a pris forme humaine durant son séjour sur cette planète, mais quelle était sa vraie forme ? Les indices de la réponse à cette question sont également donnés dans ses livres, cependant je vais vous laisser trouver cette information par vous-même car vous pouvez ne pas me croire même si je vous la donne.
Mise à jour : La photo suivante est extraite d'un livre intitulé "Tibet — The Sacred Realm" (Tibet — Le Royaume Sacré — NdT) de Lobsang P. Lhalungpa. Citation : Habillé en tenue de voyage, le treizième Dalaï-Lama, Thubten Gyatsho, pose lors de son exil en Inde, entouré de hauts fonctionnaires.
- Depuis, j'ai découvert que cette photo a été prise par Burlington Smith en mars 1910. Quelques jours après que le Grand 13ème — avec sa suite — rendit visite au Vice-roi de l'Inde, Lord Minto. Cette photo a été prise à Darjeeling quelques jours plus tard.
Le Gouvernement Tibétain avec un jeune 13ème Dalaï-Lama (qui vécut entre 1876 & 1933) ; ainsi cette photo a été prise autour de la fin des années 1890. Au premier rang, debout à côté du jeune 13ème Dalaï-Lama en allant vers la droite de la photo, se trouve le guide du Dr Rampa, le puissant Mingyar Dondup et à côté de celui-ci se tient notre bien-aimé Dr Rampa. Cette photo originale n'a pas été altérée, n'est pas non plus un faux et par conséquent, je n'entrerai dans aucune discussion concernant son authenticité. Apprenez à voyager dans l'astral et vous pourrez connaître la vérité sur cette photo, ce que ne feront pas ceux qui cherchent des preuves concrètes.
image du dessus agrandie.
Comme nous le connaissons.
L'image du haut présente de nombreuses similitudes avec celle du bas ; par exemple, les yeux, les sourcils, la bouche et la verrue à côté de son nez. Rappelez-vous qu'il a eu le nez cassé plusieurs fois par les Japonais dans divers camps de prisonniers, de sorte que son nez est légèrement différent sur les deux photos. Rappelez-vous aussi qu'il était le seul Tibétain qui ressemblait à un Occidental,
Ainsi ce sont les indices et les faits sur lesquels je fonde cette hypothèse, à partir desquels nous avons clairement une troisième transmigration, et la photo prouvant que le Dr Rampa était Tibétain.
Alors pourquoi le Dr Rampa nous a-t-il mal dirigés ? Bien, c'est facile à répondre ; si tout cela avait été écrit dans son tout premier livre, l'auriez-vous cru ? C'est très peu probable car déjà plusieurs n'ont pas cru ce qu'il a écrit dans Le Troisième Œil, et c'est ainsi que pour rendre ses points vraisemblables à un public très sceptique, il a dû l'écrire dans un format plus acceptable. Ce n'est PAS mentir ; c'est de la diversion car ses motifs étaient purs à 100 %, ce qui n'est certainement pas le cas de ceux qui mentent.
Le texte suivant justifie clairement la diversion ; pour plusieurs ceci est aussi connu comme un "pieux mensonge", c'est-à-dire qu'il n'y a pas la moindre mauvaise intention derrière elle. D'après L'Histoire de Rampa : "Mon Frère, dit doucement le Vieil Homme, même si les non-évolués, les non-éclairés feignent de croire que tu écris des œuvres d'imagination, une partie de la Vérité pénétrera jusqu'à leur sub-conscient et — qui sait ? — la petite graine de vérité s'épanouira peut-être dans leur vie présente ou dans la suivante. Ainsi que le Seigneur Bouddha Lui-même l'a dit dans la parabole des Trois Chariots, la fin justifie les moyens.
La parabole des Trois Chariots ! Quels souvenirs poignants elle me rappelait ! Quelle image précise j'avais conservée de mon Guide et ami bien-aimé, le Lama Mingyar Dondup, qui m'instruisait au Chakpori.
Un vieux moine médecin avait calmé les craintes d'une femme très malade grâce à quelque pieux mensonge inoffensif. Moi, jeune et sans expérience, persuadé de ma supériorité, j'avais exprimé ma surprise indignée d'entendre un moine dire un mensonge, même en pareil cas. Alors mon Guide s'était approché de moi et m'avait dit :
— Allons dans ma chambre, Lobsang, nous aurons intérêt à consulter les Écritures.
Il me sourit, et son aura rayonnait de bienveillance et de satisfaction tandis que nous nous dirigions vers sa chambre dominant le Potala.
— Du thé et des gâteaux indiens, oui, nous allons prendre quelques rafraîchissements, Lobsang, car, en même temps qu'eux, tu pourras digérer quelques principes. Le moine-servant, qui nous avait vus entrer, apporta de lui-même les friandises que j'aimais et que je ne pouvais obtenir que grâce aux bons offices de mon Guide.
Pendant un moment, nous demeurâmes assis, conversant à bâtons rompus ou plus exactement, je parlai tout en mangeant. Puis, lorsque j'eus terminé, l’illustre Lama me dit :
.
— Il y a des exceptions à chaque règle et chaque pièce de monnaie a deux faces. Le Bouddha s'est longuement entretenu avec Ses amis et disciples et une grande partie de Ses propos a été consignée par écrit. Il existe un récit qui pourrait fort bien s'appliquer au cas présent. Je vais te le raconter.
Il s'installa plus confortablement, s'éclaircit la voix et continua :
— Voici la parabole des Trois Chariots, ainsi nommée parce que les chariots étaient très en demande chez les garçons, à l'époque, de même que le sont aujourd'hui les échasses et les gâteaux indiens. Le Bouddha parlait à l'un de ses disciples nommé Sariputra. Ils étaient assis à l'ombre d'un de ces gros arbres indiens, discutant de la vérité et du mensonge, et disant que les mérites de la première étaient parfois inférieurs à la bienveillance du second. Le Bouddha dit : "À présent, Sariputra, parlons du cas d'un homme très riche, si riche qu'il peut satisfaire tous les caprices de sa famille. C'est un vieillard possesseur d'une vaste demeure et père de nombreux fils. Depuis la naissance de ces fils, il a tout fait pour les protéger du danger. Ils ignorent ce que c'est et n'ont point fait l'expérience de la souffrance. L'homme quitte son domaine afin de se rendre pour affaires au village voisin. En revenant chez lui, il voit une colonne de fumée monter vers le ciel. Il hâte le pas et au moment où il approche de sa maison, il s'aperçoit qu'elle est en feu. Les quatre murs sont en flammes et le toit brûle. A l'intérieur de la maison, ses fils continuent à jouer, car ils ignorent le danger. Ils auraient pu sortir mais ils ignorent le sens de la douleur puisqu'ils en ont toujours été préservés ; ils ne comprennent pas le danger du feu, car le seul qu'ils aient vu brûlait dans les cuisines.
"Le père est affolé, car comment peut-il, seul, entrer dans la maison et sauver tous ses fils ? S'il y entre, il pourra peut-être emporter l'un d'eux dans ses bras, mais les autres continueront à jouer, croyant à une plaisanterie. Certains sont très jeunes. Ils pourront errer à travers la maison et tomber dans les flammes qu'ils n'ont pas appris à redouter. Le père s'avance jusqu'à la porte et leur dit : "Mes enfants, mes enfants, sortez ! venez ici immédiatement !"
"Mais les garçons refusent d'obéir à leur père, ils veulent jouer, ils veulent se grouper au centre de la maison, loin de cette chaleur toujours accrue dont ils ignorent la cause. Le père songe : "Je connais bien mes fils, je les connais à fond, je connais chaque différence de leur tempérament, chaque nuance de leur caractère. Je sais qu'ils ne sortiront d'ici que s'ils en espèrent quelque avantage, quelque jouet nouveau." Il revient donc vers la porte et crie d'une voix sonore : "Enfants, enfants, sortez, sortez d'ici immédiatement, j'ai des jouets pour vous, à côté de cette porte. Des chariots à bœufs, des chariots à chèvres, et un chariot aussi rapide que le vent, car il est tiré par un cerf. Venez vite ou je ne vous les donnerai pas".
"Les garçons, ne craignant pas le feu, ne craignant pas les dangers des murs et du toit embrasés, mais redoutant seulement de ne pas avoir ces jouets, se précipitent hors de la maison. Ils arrivent en courant, se bousculant les uns les autres, chacun voulant être le premier à s'approcher des jouets et à choisir le plus beau. Et au moment où le dernier d'entre eux quitte la maison, le toit enflammé s'écroule au milieu d'une pluie d'étincelles et de débris.
Les garçons, sans prendre conscience du péril évité de justesse, poussent de grands cris : "Père, père, où sont les jouets que tu nous as promis ? Où sont les trois chariots ? Nous sommes venus en hâte et ils ne sont pas là. Tu as promis, père" !
"Le père, un homme riche pour lequel la destruction de sa maison n'était pas une grande perte, à présent que ses fils étaient hors de danger, se hâta d'aller leur acheter les jouets, les chariots, sachant que sa ruse avait sauvé la vie de ses fils.
"Le Bouddha se tourna vers Sariputra et lui dit : "Eh bien, Sariputra, cette ruse n'était-elle pas justifiée ? Cet homme ne justifiait-il pas la fin en ayant recours à des moyens innocents ? Sans lui, ses fils eussent été consumés par les flammes."
"Sariputra se tourna vers le Bouddha et dit : "Oui, Maître, la fin justifiait les moyens et elle a apporté des bienfaits".
Le Lama Mingyar Dondup me sourit :
— Tu es resté trois jours devant le Chakpori, me dit-il, tu as cru que l'entrée t'en était interdite et pourtant nous te soumettions à une épreuve, à un moyen qui a été justifié, en fin de compte, car tu fais des progrès satisfaisants.
Moi aussi, j'emploie "un moyen qui sera justifié en fin de compte". J'écris ceci, mon histoire vraie — Le Troisième Oeil et Docteur de Lhassa sont absolument vrais aussi — afin de pouvoir continuer ultérieurement mon travail sur l'aura. Tant de gens m'ont demandé dans leurs lettres pourquoi j'écris que je veux leur en donner ici l'explication : j'écris la vérité, afin que les Occidentaux sachent que l'Âme de l'Homme est plus importante que les spoutniks ou que les fusées à réaction.
Un jour, l'Homme se rendra sur les autres planètes grâce aux voyages astraux, ainsi que je l'ai fait moi-même ! Mais l'Homme Occidental n'ira pas tant qu'il ne songera qu'à lui-même, qu'à son ambition personnelle et ne se souciera pas des droits de son prochain. J'écris la vérité afin d'être en mesure plus tard de faire progresser la cause de l'aura humaine".
Chapitres de Vie (Les univers secrets), chapitre onze : voici les paroles exactes du Dr Rampa : "Qu'importe QUI je suis, c'est ce que j'ÉCRIS qui est important. Au cours des années des hordes "d'experts" se sont efforcés de me mettre dans mon tort. Ils ont échoué. Si je suis un imposteur, d'où me viennent les connaissances que d'autres copient à présent ? Tous mes livres contiennent mes propres expériences personnelles, rien n'est dû à la soi-disant "écriture automatique" tant aimée de la Presse. Je ne suis ni possédé ni obsédé, je ne suis qu'une personne qui tente de s'acquitter d'une tâche particulièrement difficile face à la bigoterie et la jalousie. Il existe dans certains "Hauts Lieux" de l'Inde et d'ailleurs des gens qui pourraient aider, mais qui prostituent leur religion à la politique et donc, pour des raisons politiques etc., nient la vérité de ce que j'écris !
Le mot de la fin du Dr Rampa : Le Sage du Tibet, dernier paragraphe de son avant-propos : "J'espère que vous le trouverez crédible. Si vous ne le trouvez pas crédible, il se peut que vous n'ayez pas encore atteint le stade d'évolution nécessaire".
Ce que Bouton d'Or dit textuellement : "J'aime beaucoup l'hypothèse et, là encore, vous avez fait une reconstitution claire et logique et avez répondu aux questions avant qu'elles ne se présentent. En toute franchise, je n'aurais guère pu faire un aussi bon travail".
Je vous en prie, prenez plaisir à la lecture de tous ses dix-neuf livres car ils peuvent venir en aide à quiconque garde un esprit ouvert et est désireux de connaître la vérité.